Sur
100 couples sans enfant, 5,1 étaient pauvres en 1997
(ils avaient moins de 3460F par mois par unité
de consommation). |
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Non,
il n'y a qu'un cas où le taux de pauvreté des
ménages composés de 2 conjoints actifs est supérieur
à la moyenne et de peu : pour 3 enfants et plus, 7,1
% de ces ménages sont pauvres, dans tous les autres
cas, leur taux est nettement inférieur. |
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OUI,
sur 100 ménages composés d'un homme actif et
d'une femme inactive 10,8 sont pauvres, ce qui est plus que
la moyenne (7,1). |
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L'unité de
consommation permet de tenir compte du nombre de personnes
vivant dans le ménage. Le premier adulte compte pour
une unité de consommation, les autres pour 0,5 :
une partie des dépenses sont communes. Un enfant
(de moins de 15 ans) compte pour 0,3 unités.
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OUI, sur 100
ménages composés d'un homme inactif et d'une
femme active 14,7 sont pauvres, ce qui est deux fois plus
que la moyenne.
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OUI : sur 100
ménages composés de deux conjoints inactifs
37,4 sont pauvres soit 5 fois plus que la moyenne.
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Oui, les hommes
seuls actifs ou inactifs ont tous des taux de pauvreté
supérieurs à la moyenne.
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Non, le tableau
ne permet pas de l'affirmer : le taux de pauvreté
moyen des ménages sans enfant n'est pas donné.
Dans certains cas ils sont plus touchés par la pauvreté
(les inactifs), mais dans d'autres non. Il n'est pas possible
de calculer de moyenne car le nombre de ménages par
type n'est pas donné.
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Non, le tableau
ne permet pas de l'affirmer : le taux de pauvreté
moyen des ménages avec 1 ou 2 enfants n'est pas donné.
Dans certains cas ils sont plus touchés par la pauvreté
(les inactifs), mais dans d'autres non. Il n'est pas possible
de calculer de moyenne car le nombre de ménages par
type n'est pas donné.
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OUi, les femmes seules
(actives ou inactives) ont toutes des taux de pauvreté
supérieurs à la moyenne.
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Le taux de pauvreté
est le rapport :
nombre de ménages pauvres
nombre total de ménage
il baisse quand le nombre total de ménages augmente
plus que le nombre de ménages pauvres. Ce qui fut
le cas entre 1990 et 1997.
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Oui, les familles
de 3 enfants et plus sont touchées par la pauvreté.
Leur plus bas taux (7,1%) égal à celui de
la moyenne des ménages, concerne les familles de
deux conjoints actifs. Dans les autres cas, le taux est
supérieur.
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Le risque de pauvreté
dépend fortement de l'activité : les ménages
d'inactifs sont plus touchés. A l'inverse le risque
est minimal pour un couple d'actifs (il y a deux revenus).
Le risque dépend également du nombre d'enfants,
plus celui-ci est élevé, plus le risque est
grand. Ceci provient en partie de la plus forte natalité
des catégories sociales peu qualifiées.
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