L'unité de consommation permet de tenir compte du nombre de personnes vivant dans le ménage. Le premier adulte compte pour une unité de consommation, les autres pour 0,5 : une partie des dépenses sont communes. Un enfant (de moins de 15 ans) compte pour 0,3 unités.

Vous êtes hors-sujet.

OUI : la poursuite des études pose des problèmes financiers à de nombreuses familles : un étudiant hors de la famille coûte plus cher qu'un enfant à la maison.

Non, le niveau de vie a augmenté : les parents ne peuvent pas moins aider qu'autrefois, très peu d'enfants poursuivaient des études supérieures avant 1970.

Non, le tableau ne permet pas de l'affirmer : le taux de pauvreté moyen des ménages sans enfant n'est pas donné. Dans certains cas ils sont plus touchés par la pauvreté (les inactifs), mais dans d'autres non. Il n'est pas possible de calculer de moyenne car le nombre de ménages par type n'est pas donné.

Non, le tableau ne permet pas de l'affirmer : le taux de pauvreté moyen des ménages avec 1 ou 2 enfants n'est pas donné. Dans certains cas ils sont plus touchés par la pauvreté (les inactifs), mais dans d'autres non. Il n'est pas possible de calculer de moyenne car le nombre de ménages par type n'est pas donné.

OUi, les femmes seules (actives ou inactives) ont toutes des taux de pauvreté supérieurs à la moyenne.

Ce n'est pas le cas : la durée de la vie s'est allongée.

Oui, les familles de 3 enfants et plus sont touchées par la pauvreté. Leur plus bas taux (7,1%) égal à celui de la moyenne des ménages, concerne les familles de deux conjoints actifs. Dans les autres cas, le taux est supérieur.

Le risque de pauvreté dépend fortement de l'activité : les ménages d'inactifs sont plus touchés. A l'inverse le risque est minimal pour un couple d'actifs (il y a deux revenus).
Le risque dépend également du nombre d'enfants, plus celui-ci est élevé, plus le risque est grand. Ceci provient en partie de la plus forte natalité des catégories sociales peu qualifiées.