| Vous avez tort : "Une note de 0 est accordée à la valeur de l’indicateur qui correspond à la valeur la plus basse observée sur la période". |
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Vous avez raison,
"Une note de 0 est accordée à la valeur de l’indicateur qui correspond à la valeur la plus basse observée sur la période".
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Vous avez tort,
en 1990, il y avait 15,7 % de bas salaires parmi les salariés. C'est le taux maximal sur la période, il a donc la note 10.
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Vous avez raison,
en 1995, la proportion de bas salaires est de 18,4 %, c'est le taux maximal, il a donc obtenu la note 10 / 10. |
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Vous avez tort,
le PNUD a choisi les limites des notes, pour l'espérance de vie, par exemple : la note 0 est attribuée à l'âge de 25 ans, la note 1 sur 1 (note maximale) à l'âge de 85 ans.
L'inconvénient de mettre des bornes à priori est qu'il faut faire des hypothèses sur ce qui est possible. |
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Vous avez raison,
le PNUD a choisi les limites des notes, pour l'espérance de vie, par exemple : la note 0 est attribuée à l'âge de 25 ans, la note 1 sur 1 (note maximale) à l'âge de 85 ans.
L'inconvénient de mettre des bornes à priori est qu'il faut faire des hypothèses sur ce qui est possible.. |
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| Vous avez
tort, certes les rapports
de la PNUD classent les différents pays mais le but
est d'améliorer le développement en prenant
en compte des objectifs sociaux et d'autres économiques.
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Vous
avez raison ,
noter de 0 à 10 montre bien les écarts : dans le cas de la proportion de bas salaires, un écart de 7 points de pourcentage (1995 - 1983 = 18,4 - 11,4 = 7) vaut 10 points sur la note. |
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Vous avez tort ,
noter de 0 à 10 montre bien les écarts : dans le cas de la proportion de bas salaires, un écart de 7 points de pourcentage (1995 - 1983 = 18,4 - 11,4 = 7) vaut 10 points sur la note.
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Vous avez raison,
une des 2 solutions suivantes ont été alors retenues :
-
utiliser une période plus importante pour les séries statistiques pour augmenter les écarts (le rapport salaire moyen / SMIC, par exemple, est pris en compte depuis 1970),
- donner un minimum et un maximum en partie arbitraire (ce qui est fait pour le ratio fort / faible en math et français qui est une des mesures des inégalités scolaires)
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Vous avez tort,
en supposant qu'une série statistique n'est que 0,1 point d'écart entre la donnée la plus faible et la plus forte, il serait attribué 10 points à cet écart, ce qui serait exagéré. Il paraît évident que cette série ne serait pas retenue.
Dans les cas moins excessifs où les écarts sont faibles, l'une des 2 solutions suivantes ont été retenues :
une des 2 solutions suivantes ont été alors retenues :
- utiliser une période plus importante pour les séries statistiques pour augmenter les écarts (le rapport salaire moyen / SMIC, par exemple, est pris en compte depuis 1970),
- donner un minimum et un maximum en partie arbitraire (ce qui est fait pour le ratio fort / faible en math et français qui est une des mesures des inégalités scolaires)
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La consommation inclut les biens et services achetés
mais aussi les services non marchands et les modifications
dans les pratiques de loisir.
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L'accumulation des ressources productives est calculée
ici nette : après retrait du capital usé
ou détruit. Le capital pris en compte est celui des
entreprises, des administrations mais aussi les logements,
l'accumulation nette de capital humain et les investissements
en Recherche & développement.
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L'insécurité diminue le bien-être,
elle inclut : le chômage, la maladie, la précarité
des familles monoparentales et des personnes âgées.
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Dans un premier temps, chaque série de base (par exemple le taux de chômage) est normalisée sur un intervalle commun variant de 0 à 10. Une note de 0 est accordée à la valeur de l’indicateur qui correspond à la valeur la plus basse observée sur la période (le plus faible degré d’inégalité) et, réciproquement, une note de 10 est accordée à la valeur la plus haute (celle qui traduit le plus fort degré d’inégalité).
Source : http://www.bip40.fr
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Exemple : proportion de bas salaires
| date |
en % |
note |
date |
en % |
note |
| 1983 |
11,4 |
0,00 |
1994 |
17,1 |
8,14 |
| 1984 |
12,0 |
0,86 |
1995 |
18,4 |
10,0 |
| 1985 |
12,0 |
0,86 |
1996 |
17,7 |
9,00 |
| 1986 |
13,3 |
2,71 |
1997 |
17,5 |
8,71 |
| 1987 |
13,1 |
2,43 |
1998 |
17,7 |
9,00 |
| 1988 |
13,2 |
2,57 |
1999 |
16,6 |
7,43 |
| 1989 |
13,4 |
2,86 |
2000 |
16,5 |
7,29 |
| 1990 |
15,7 |
6,14 |
2001 |
15,5 |
5,86 |
| 1991 |
16,0 |
6,57 |
2002 |
16,2 |
6,86 |
| 1992 |
15,1 |
5,29 |
2003 |
16,2 |
6,86 |
| 1993 |
16,5 |
7,29 |
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 La proportion de bas salaires en 1983 a la note 0 car
- c'est l'année de départ
- c'est l'année où la proportion de bas salaires est la plus basse
La note 10 est donnée en
.........1990 ......................... 1995
Cette notation est la même que celle retenue pour l'IDH ? (revoir l'IDH ?)
oui non
Une note de 0 à 10 permet de bien voir les évolutions ....... VRAI........................... FAUX
Lorsque les écarts sont faibles une notation de 0 à 10 exagère les évolutions
..............VRAI........................... FAUX.
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Introduction
les inégalités