Non,
C'est le développement qui est défini comme
les transformations des structure économiques et sociales
liées à la croissance. |
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Non,
c'est le "développement humain" qui est défini
par les transformations des structures économiques
et sociales liées à la croissance qui permettent
l'amélioration de la vie humaine. |
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Vous avez raison,
le développement
durable est la transformation des structures économiques
et sociales liées à la croissance et permettant
d'assurer le maintien environnemental et humain nécessaire
au futur.
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Vous avez raison,
le développement est
un notion liée à la révolution industrielle.
Il implique l'augmentation du niveau de consommation de biens
et services. Pour l'obtenir, les ressources naturelles sont
détruites. C'est pourquoi le respect de la nature et
le développement paraissent inconciliables à
l'auteur. |
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Vous avez tort,
le développement est un notion
liée à la révolution industrielle. Il
implique l'augmentation du niveau de consommation de biens
et services. Pour l'obtenir, les ressources naturelles sont
détruites. C'est pourquoi le respect de la nature et
le développement paraissent inconciliables à
l'auteur. |
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Vous avez tort,
l'auteur, marxiste, considère que l'exploitation de
l'homme est inséparable de notre système économique.
Un développement humain est donc impossible, pour l'auteur, dans le cadre du système capitaliste. |
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Vous avez
raison,
l'auteur, marxiste, considère que l'exploitation de
l'homme est inséparable de notre système économique.
Un développement humain est donc impossible, pour l'auteur, dans le cadre de l'économie capitaliste. |
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Vous
avez tort,
pour l'auteur, le développement
est autant destructeur que créateur, les difficultés
de mesure deviennent insurmontables.
De plus, les mesures qui tendent à montrer que le développement
existent sont idéologiques : elles servent à
renforcer le système capitaliste.
Cette position est évidemment discutable : à
vous de choisir. |
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Vous avez raison,
le développement est autant
destructeur que créateur, les difficultés
de mesure deviennent insurmontables.
De plus, les mesures qui tendent à montrer que le
développement existent sont idéologiques :
elles servent à renforcer le système capitaliste.
Cette position est évidemment discutable : à
vous de choisir.
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C'est ce que montre l'IDH,
mais l'indicateur de bien-être met en évidence
des reculs : le Canada, comme tous les pays industrialisés,
a connu une aggravation de l'insécurité économique
et des effets externes négatifs de la croissance économique.
Il paraît ainsi difficile d'affirmer que le développement
a été régulier. |
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Vous avez raison,
l'IDH montre un développement régulier,
mais l'indicateur de bien-être met en évidence
des reculs : le Canada, comme tous les pays industrialisés,
a connu une aggravation de l'insécurité économique
et des effets externes négatifs de la croissance
économique. Il paraît ainsi difficile d'affirmer
que le développement a été régulier.
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La consommation inclut les biens et services achetés
mais aussi les services non marchands et les modifications
dans les pratiques de loisir.
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L'accumulation des ressources productives est calculée
ici nette : après retrait du capital usé
ou détruit. Le capital pris en compte est celui des
entreprises, des administrations mais aussi les logements,
l'accumulation nette de capital humain et les investissements
en Recherche & développement.
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L'insécurité diminue le bien-être,
il inclut : le chômage, la maladie, la précarité
des familles monoparentales et des personnes âgées.
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C'est
le développement réellement existant, celui qui domine
la planète depuis deux siècles, qui engendre les problèmes
sociaux et environnementaux actuels. Le développement n'est
qu'une entreprise visant à transformer les rapports des hommes
entre eux et avec la nature en marchandises. Il s'agit d'exploiter,
de mettre en valeur, de tirer profit des ressources naturelles et
humaines. Quel que soit l'adjectif qu'on lui accole, le contenu implicite
ou explicite du développement c'est la croissance économique,
l'accumulation du capital avec tous les effets positifs et négatifs
que l'on connaît : compétition sans pitié, croissance
sans limite des inégalités, pillage sans retenue de
la nature. Le fait d'ajouter le qualificatif "durable" ou
"soutenable" ne fait qu'embrouiller un peu plus les choses.
Notre surcroissance économique dépasse déjà
largement la capacité de charge de la terre. Si tous les citoyens
du monde consommaient comme les américains moyens les limites
physiques de la planète seraient largement dépassées.
[...]
Conclusion : Le développement comme la mondialisation sont
des "machines" à affamer les peuples. [...]
Source : Serge Latouche, Professeur à l'université de Paris-Sud. |
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