Non, une augmentation de 1,2 % en 2005, c'est peu. |
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Vous avez raison : la croissance a été faible : le PIB n'a augmenté que de 1,2 %. |
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Vous avez raison, le principal facteur de la croissance en 2005 a été la hausse de la consommation des ménages. |
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Vous
avez tort,
le principal facteur de la croissance en 2005 a été la hausse de la consommation des ménages. |
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Vous
avez tort,
les importations ont plus augmenté que les exportations : elles ont favorisé la production étrangère non celle française. |
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Vous
avez tort, les importations ont plus augmenté que les exportations : elles ont favorisé la production étrangère non celle française. |
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Oui,
l'accélaration de l'investissement est favorable à la croissance car il faut produire les machines et bâtiments. |
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Vous
avez tort,
l'accélaration de l'investissement est favorable à la croissance car il faut produire les machines et bâtiments. |
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Vous
avez tort,
la fin du texte est plus pessimiste : le pouvoir d'achat des ménages ralentit et les entreprises ont un taux de marge en baisse. |
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Vous
avez raison,
la fin du texte est plus pessimiste : le pouvoir d'achat des ménages ralentit et les entreprises ont un taux de marge en baisse. |
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La
dépense de consommation est l'ensemble des achats
de biens et services des ménages pour leur utilisation
finale.
On y inclut aussi les loyers imputés,
que les ménages propriétaires de leur résidence
principale se versent implicitement à eux-mêmes.
Pour les ménages ordinaires, seuls l'achat des logements
est considéré comme un investissement, tous
les autres achats sont des dépenses de consommation.
(Les entrepreneurs individuels, bien que comptabilisés
dans les ménages, ont des achats de consommations intermédiaires
et des investissements.) |
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La
consommation totale des
ménages inclut les dépenses
de consommation et les
biens et services mis à disposition gratuitement par
les administrations : la consommation socialisée
(exemples : enseignement public, médicaments remboursés
par la sécurité sociale ou les mutuelles). |
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Pour
mesurer la
contribution d'un élément à la croissance,
les comptables nationaux prennent en compte à la fois
le poids de cet élément dans le PIB (la consommation
pèse lourd : plus de 60 % du PIB) et de sa croissance
(la consommation des ménages a augmenté de 2
% en 2002). |
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La
consommation socialisée est l'ensemble des consommations
mis à disposition gratuitement par les administrations
au service des ménages (exemple : enseignement public,
remboursement de médicaments par la sécurité
sociale). |
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En 2005, malgré le redémarrage de la croissance en milieu d'année, le produit intérieur brut s'accroît en moyenne annuelle de 1,2 % en volume, après 2,3 % en 2004 et 1,1 % en 2003. Le solde extérieur continue de freiner l'activité et les dépenses des administrations publiques décélèrent nettement. En revanche, la consommation des ménages reste dynamique et l'investissement accélère. Le pouvoir d'achat du revenu disponible des ménages ralentit et leur taux d'épargne diminue de près d'un point. Le taux de marge des sociétés non financières se contracte. Le déficit public se réduit, sous l'effet d'une hausse du taux de prélèvements obligatoires et d'un ralentissement des dépenses publiques. |