Oui, les bourses sont une aide de l'Etat qui permettent de consommer (utiliser des biens et services), elles font partie de la consommation socialisée. |
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Vous
avez tort, les
bourses sont une aide de l'Etat qui permettent de consommer
(utiliser des biens et services), elles font partie de la
consommation socialisée. |
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Non,
il faut regarder
la 3e colonne du tableau : la consommation socialisée
ne contribue qu'à 0,3 points de croissance alors que la dépense de consommation y conribue pour 1,2 points. La consommation socialisée est moins importante que la dépense de consommation et croît moins vite. |
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Vous
avez raison, il faut regarder la 3e colonne du tableau : la consommation socialisée ne contribue qu'à 0,3 points de croissance alors que la dépense de consommation y conribue pour 1,2 points. La consommation socialisée est moins importante que la dépense de consommation et croît moins vite. |
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Vous avez tort, les revenus se sont 'essouflés' : ils ont peu augmenté en 2005, seulement d'1,1% en termes réels. |
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Vous
avez raison, les revenus se sont 'essouflés' : ils ont peu augmenté en 2005, seulement d'1,1% en termes réels. |
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Oui,
Le taux d'épargne est la part de l'épargne dans le revenu. Les ménages ont préféré consommer plutôt qu'épargner. |
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Vous
avez tort,
Le taux d'épargne est la part de l'épargne dans le revenu. Les ménages ont préféré consommer plutôt qu'épargner. |
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Vous
avez tort,
les taux d'intérêt très bas ont facilité les emprunts qui sont l'inverse de l'épargne. |
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Vous
avez raison,
les taux d'intérêt très bas ont facilité les emprunts qui sont l'inverse de l'épargne. |
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La
dépense de consommation est l'ensemble des achats
de biens et services des ménages pour leur utilisation
finale.
On y inclut aussi les loyers imputés,
que les ménages propriétaires de leur résidence
principale se versent implicitement à eux-mêmes.
Pour les ménages ordinaires, seuls l'achat des logements
est considéré comme un investissement, tous
les autres achats sont des dépenses de consommation.
(Les entrepreneurs individuels, bien que comptabilisés
dans les ménages, ont des achats de consommations intermédiaires
et des investissements.) |
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La
consommation totale des
ménages inclut les dépenses
de consommation et les
biens et services mis à disposition gratuitement par
les administrations : la consommation socialisée
(exemples : enseignement public, médicaments remboursés
par la sécurité sociale ou les mutuelles). |
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Pour
mesurer la
contribution d'un élément à la croissance,
les comptables nationaux prennent en compte à la fois
le poids de cet élément dans le PIB (la consommation
pèse lourd : plus de 60 % du PIB) et de sa croissance
(la consommation des ménages a augmenté de 2
% en 2002).
Le tableau se lit : la dépense de consommation des
ménages a contribué à 0,7 points de croissance
.
[La page "PIB" montre qu'au total le PIB a crû
de 1,2 % en 2002, 0,7 points sur les 1,2 s'expliquent par
la dépense de consommation] |
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La
consommation socialisée est l'ensemble des consommations
mis à disposition gratuitement par les administrations
au service des ménages (exemple : enseignement public,
remboursement de médicaments par la sécurité
sociale). |
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En 2005, la demande des ménages aura été une nouvelle fois le principal moteur de la croissance.
La décélération du revenu réel disponible des ménages, due à l’essoufflement des revenus d’activité et aux hausses d’impôts, a bien pesé quelque peu sur la consommation des ménages (+ 2,1 %, après + 2,3 % en 2004), mais elle a été amortie par un repli de leur taux d’épargne de près d’un point. Le niveau toujours bas des taux d’intérêt a notamment renforcé les désincitations à épargner. En outre, l’appétit des ménages pour l’investissement en logement manifesté depuis bientôt 8 ans ne s’est pas tari (+ 4,1 %), alimenté par une nouvelle expansion des crédits immobiliers et un allongement de la durée des prêts. |