| Non,
elle a augmenté de 3,6 % en 2005. C'est moins qu'en 2004, mais c'est une hausse. |
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| Oui,
elle a augmenté de 3,6 % en 2005. C'est moins qu'en 2004, mais c'est une hausse. |
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| Oui,
la FBCF est
bien l'achat de machines, bâtiments, logiciels... (les
biens servant à la production plus d'un an) |
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| Vous
avez tort, la
FBCF est bien l'achat de machines, bâtiments, logiciels...
(les biens servant à la production plus d'un an) |
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| Vous
avez raison, les "conditions financières favorables" incluent des taux d'intérêt bas. |
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Vous
avez tort,
les "conditions financières favorables" incluent des taux d'intérêt bas. |
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Oui,
"bridé" veut dire limité.
Les entreprises investissent pour remplacer le matériel existant mais aussi, éventuellement pour augmenter leurs capacités de production. Elles ne le font que si elles pensent que les ventes vont durablement augmenter. |
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Vous
avez tort,
"bridé" veut dire limité.
Les entreprises investissent pour remplacer le matériel existant mais aussi, éventuellement pour augmenter leurs capacités de production. Elles ne le font que si elles pensent que les ventes vont durablement augmenter. |
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Vous
avez raison,
l'augmentation du prix des matières premières augmente les coûts : les entreprises peuvent soit augmenter les prix, ce qui risque de réduire les ventes, soit diminuer leur profit, mais alors l'investissement risque de ne pas être rentable. |
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Vous
avez tort,
l'augmentation du prix des matières premières augmente les coûts : les entreprises peuvent soit augmenter les prix, ce qui risque de réduire les ventes, soit diminuer leur profit, mais alors l'investissement risque de ne pas être rentable. |
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La
FBCF (formation brute de capital fixe) est
l'augmentation nette des moyens de production matériels
et immatériels utilisés dans la production pendant
plus d'un an par les résidents.
Les biens et services utilisés dans la production et
qui durent moins d'un an sont les consommations intermédiaires.
Le capital fixe lui dure plus d'un an (machines, bâtiments,
logiciels...) |
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| La
consommation totale des
ménages inclut les dépenses
de consommation et les
biens et services mis à disposition gratuitement par
les administrations : la consommation socialisée
(exemples : enseignement public, médicaments remboursés
par la sécurité sociale ou les mutuelles). |
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| Pour
mesurer la
contribution d'un élément à la croissance,
les comptables nationaux prennent en compte à la fois
le poids de cet élément dans le PIB (la consommation
pèse lourd : plus de 60 % du PIB) et de sa croissance
(la consommation des ménages a augmenté de 2
% en 2002). |
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| La
consommation socialisée est l'ensemble des consommations
mis à disposition gratuitement par les administrations
au service des ménages (exemple : enseignement public,
remboursement de médicaments par la sécurité
sociale). |
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En 2005, l’investissement des entreprises non financières et des entreprises individuelles, bien
que dynamique, a ralenti (+ 3,6 %, après + 4,7 %). Si les conditions financières sont restées
très favorables, il a été bridé par des perspectives de débouchés incertaines liées à la
faiblesse de l’activité industrielle et par une profitabilité entamée par l’envolée du prix
des matières premières. Les entreprises ont également adopté un comportement de stockage
plus prudent après l’ample mouvement de reconstitution de 2004. |
l'enjeu
analyser une situation économique