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En 2002, le revenu disponible des ménages progresse mais ralentit nettement par rapport à 2000 et 2001. Sa principale composante, la masse salariale, s'infléchit après deux années exceptionnelles en termes de créations d'emplois. Il en est de même des revenus des indépendants. Cependant, les baisses d'impôts et la croissance des prestations sociales jouent dans l'autre sens. La hausse du pouvoir d'achat ne se répercute pas totalement sur la dépense de consommation des ménages. La dégradation du marché du travail incite les ménages à constituer une épargne de précaution. De plus, une partie des allègments d'impôts a été, au moins dans un premier temps, épargnée.

 

 

 

 

hausse du chômage

baisse des impôts
hausse des
prestations sociales

hausse des salaires
hausse de la
consommation totale

hausse de l'épargne
hausse de la
cons. socialisée
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.baisse de la dépense de consommation
.hausse de la dépense de consommation
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.hausse du PIB

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