Lorsque
les entreprises nationales sont compétitives, elles
exportent et limitent les importations : il y a excédent
extérieur. Cependant, un excédent peut être
le signe, comme en 2003, que l'économie nationale
va mal : lorsque les ménages consomment peu et les
entreprises investissent peu, il y a peu d'importations.
Vous
avez raison,lorsque les
entreprises nationales sont compétitives, elles exportent
et limitent les importations. Un excédent peut cependant
être le signe, comme en 2003, que l'économie
nationale va mal : lorsque les ménages consomment peu
et les entreprises investissent peu, il y a peu d'importations.
Vous
avez tort, la
croissance était plus forte et l'excédent extérieur
plus élevé.
Vous
avez raison, la
croissance était plus forte en 2000, et l'excédent
extérieur plus élevé.
Vous avez tort, en période
de récession, de production ralentie, les ménages
consomment moins et les entreprises investissent moins ce
qui réduit les importations et , en général,
améliore le solde extérieur. C'est le cas ici.
Les exportations françaises
se sont maintenues malgré l'augmentation de l'euro
qui rend les produits français plus chers à
l'étranger, ce qui monter une bonne compétitivité.
Vous avez raison,
en période
de récession, de production ralentie, les ménages
consomment moins et les entreprises investissent moins ce
qui réduit les importations et , en général,
améliore le solde extérieur. C'est le cas
ici.
Les exportations françaises
se sont maintenues malgré l'augmentation de l'euro
qui rend les produits français plus chers à
l'étranger, ce qui montre une bonne compétitivité.
Non,
en 2003, la croissance est quasi-nulle (+ 0,2 %). Une politique
de relance serait adaptée.
Dans une optique libérale, le gouvernement de Mr Raffarin
a réduit les impôts pour relancer la consommation
et l'épargne et limité la baisse des dépenses
publiques qui est un de ces objectifs.
Oui en
2003, la croissance
est quasi-nulle (+ 0,2 %). Une politique de relance serait
adaptée.
Dans une optique libérale, le gouvernement de Mr Raffarin
a réduit les impôts pour relancer la consommation
et l'épargne et limité la baisse des dépenses
publiques qui est un de ces objectifs.
Oui,
de 1997 à
2000, la France connaît une période d'assez forte
croissance (autour de 3-4 % par an). De légères
tensions inflationnistes existent également.
=> l'heure n'était pas à la relance mais
aux économies budgétaires : le gouvernement
de Mr Jospin l'a fait et le déficit public s'est réduit.
Cependant, le chômage était toujours préoccupant.
La Réduction du Temps de Travail cherchait à
le réduire.
Non, de
1997 à 2000, la France connaît une période
d'assez forte croissance (autour de 3-4 % par an). De légères
tensions inflationnistes existent également.
=> l'heure n'était pas à la relance mais
aux économies budgétaires : le gouvernement
de Mr Jospin l'a fait et le déficit public s'est
réduit.
Cependant, le chômage était toujours préoccupant.
La Réduction du Temps de Travail cherchait à
le réduire.
Document réalisé par Isabelle Gautier, protégé
par la licence LLDL-v1, Licence de Libre Diffusion des Documents, http://pauillac.inria.fr/~lang/licence/v1/lldd.html
. Vous pouvez librement utiliser, modifier et diffuser ce document mais
uniquement à titre gratuit.